AnnexesListingsBanque de liensFlood relationnelDemande de rp
GroupesGroupes  AccueilAccueil  RechercherRechercher  Dernières imagesDernières images  MembresMembres  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  

Le deal à ne pas rater :
Funko POP! Jumbo One Piece Kaido Dragon Form : où l’acheter ?
Voir le deal

 

 Underneath it all we're just savages (Sina)

Aller en bas 
Sina Deighton
Staff The Dirty Hands
Sina Deighton

Crédits : luxaeterna (ava)
Messages : 33
Points : 101
Date d'inscription : 02/02/2021

Underneath it all we're just savages (Sina) Empty
Message() Sujet: Underneath it all we're just savages (Sina) Underneath it all we're just savages (Sina) Empty23/10/2021, 09:47

Sina (Sweeney) Deighton - Underneath it all we're just savages, Hidden behind shirts, ties and marriages, Truth is in us all, cradle to the grave.
Nom : (née) Sweeney, tout autant l'écho d'une légende royale irlandaise que d'un sinistre assassin projetant son ombre malfaisante sur Londres, pages à écrire par ses deux héritiers. (épouse) Deighton, nom offert dans les liens du mariage, apposé négligemment, semblant de trop Prénom : Sina, prénom sans origine et sans histoire marmonné par son paternel dans une sempiternelle nuit d'hébétude alcoolique Surnom : Sin, telle la forfaiture qui coule dans les veines, signature de la malversation, hérédité maudite présageant d'un destin corrompu (nana pour les plus téméraires) Généalogie : l'Irlande pour seule origine, Sina est affiliée à la famille Byrne par sa mère et à la famille Sweeney par son père. L'ombre maternelle n'a jamais été à la hauteur de la réputation de son nom, préférant s'avilir dans les bras impropres et violents d'un homme sans ambition, prenant son nom comme sa bassesse. Ville et date de naissance : Chicago, l'enfant comme la femme n'ont connu que ses rues, grandissant en même temps que la cité. Ses quartiers et leurs frontières sont connus, sans surprise sur leurs réjouissances et dangers. Elle a vu le jour le 13 juillet 1885, 1920 sonnant prochainement les trente cinq printemps Origines : l'Irlande qui bat dans les veinures de l'écorce, rappel d'une terre maintes fois imaginée à travers les légendes contées par les anciens d'une voix timbrée de nostalgie. Il lui semble connaitre cette nation qu'elle n'a jamais pu fouler, mais qu'elle soutien farouchement. Statut matrimonial : mariée, sans entrain particulier, consentement ayant été donné par l'oncle. Scellement de deux êtres foncièrement différents, dans une entente qui leur est propre Parcours scolaire : fière Womatou, le corps comme protection de l'esprit, outil des ambitions et vecteur des pêchés, sa voie s'est dessinée à travers le cursus défense et sécurité Profession : Publiquement Auror au sein de l'agence d'enquête, elle brigue le poste d'auror en chef, tentant de se frayer un chemin envers les contestations patriarcales brandissant encore phallus comme gage de puissance. Intimement enforcer au sein du gang irlandais, elle s'assure d'effacer leurs traces, utilise certaines informations obtenues dans le cadre d'enquêtes pour faire chanter leurs adversaires ou les adversaires de leurs clients. Un pied dehors, un pied dedans elle se faufile entre les mailles profitant des accès que lui offre son poste, toujours dans l'intérêt des siens. Versée dans l'art du chantage et des intimidations, elle fait autant office de maitre chanteur que d'indic.  Lieu de vie : fidèle au sang qui pulse dans ses veines c'est le quartier Sud de Chicago qui accueille son foyer, un appartement dont la simplicité atteste d'une absence de présence quotidienne, d'une cuisine quasiment vierge de toute utilisation. Absence de photographies des époux, seules quelques affaires laissés négligemment atteste de la présence d'un couple au sein de l'appartement
Baguette magique : la baguette aussi caractérielle que sa porteuse a été façonnée par Shikoba Wolfe. Faite en bois de laurier, contient en son coeur un poil de Womatou, sur une longueur de 29 cm. Baguette fièrement brandie par la main droite, la gauche ne sachant avoir la même dextérité. Permis de port : Comme toute auror qui se respecte elle dispose effectivement d'un permis de port de baguette Nombre d'étincelles : 15/15, il semblerait que la baguette soit vierge de toute incartade. les mauvaise langues insinueront que la porteuse, connait les rouages policiers pour se protéger de toute pénalité Particularité : une langue très (trop ?) acérée ? une fâcheuse tendance à laisser l'enivrement prendre le pas sur des soirées qui auraient du se faire abstinentes ? une facilité trop fréquente à prendre les paris ? A l'exception de défauts trop masculins pour être vantés par la gente féminine de bonne vertue, tout aussi américaine soit elle, seule la banalité découle de son être. Personnalité : sarcastique - opportuniste - habile à mentir - sportive - impatiente - joueuse - tendance à l'addiction quelle qu'elle soit - peu empathique - curieuse - ambitieuse - intrépide - facilement agressive - bagarreuse - compétitive - capable de placidité et de calme au travail - rancunière - fière - morale propre à ses critères - attachée à la réussite - réfractaire à l'amour maternel - proche de sa famille et en particulier de son frère et de son oncle - incapable de cuisiner - autonome. Réputation : femme à plusieurs faces à ses collègues de travail la décriront comme étant sérieuse, appliquée et calme, tandis que son entourage la décriront impétueuse, insolente et caractérielle mais également de bonne compagnie (du moins selon les critères irlandais). Groupe : (Wand behind my back) Corrompue par le carmin autant que par les velléités, le double jeu s'inscrit dans le quotidien s'affichant fièrement auror quand la fidélité est donnée aux dirty hands
Célébrité jouée : Jennifer Lawrence Type de personnage : inventéPseudo et âge : Jess / 25 ans Comment avez-vous connu GOW ?  Gaw La plume à papote :  Han  Coeur  Brows  Drunk  

Gangs of Wizards




Dernière édition par Sina Deighton le 27/10/2021, 19:39, édité 5 fois
Revenir en haut Aller en bas
Sina Deighton
Staff The Dirty Hands
Sina Deighton

Crédits : luxaeterna (ava)
Messages : 33
Points : 101
Date d'inscription : 02/02/2021

Underneath it all we're just savages (Sina) Empty
Message() Sujet: Re: Underneath it all we're just savages (Sina) Underneath it all we're just savages (Sina) Empty23/10/2021, 09:47

Whatever it takes 'Cause I love the adrenaline in my veins, 'Cause I love how it feels when I break the chains .

13 juillet 1885 la femme esseulée, que la maternité ne rendra jamais maternelle, se délivre de son calvaire dans un râle de souffrance. La naissance marque déjà l'absence du père, rejet de la mère qui n'accepte qu'une vie chérie se soit envolée alors qu'une autre non désirée soit donnée.

13 mai 1892 : Monopole de l’enfance, c’est le faciès boudeur qui accueille l’aîné ne laissant place à l’interprétation quant à l’humeur de la gosse qui se tient résolument de toute sa -petite- hauteur dans l’encadrement de la porte. Fierté qui s’inscrit dans la posture, mécontentement qui transparait des bras fermement croisés contre le thorax faisant presque oublier les écorchures qui ébrèchent l’épiderme de la face et des coudes. Ecchymose qui meurtri la chair autour de l’œil,  dont la couleur laisse entrevoir une correction datant déjà de plusieurs jours, sans pour autant déposséder le faciès de son air juvénile. « T’as menti, t’avais dit que tu serais rentré il y a déjà plusieurs jours » incrimine la gosse, sourcils se fronçant très sérieusement devant l’accusé que les airs querelleurs de la cadette, ne semblent nullement impressionner. « Maman m’a dit que tu ne voulais plus rentrer parce que tu ne voulais pas me voir et que tu finirais pas disparaître comme papa. Elle dit qu’il ne pouvait supporter l’idée d’avoir une fille que c’est pour ça qu’il est mort » continue la gamine à laquelle la notion de mort n’a jamais été enjolivée par des représentations édulcorées faites d’un après la vie heureux, de l’atteinte de l’olympe des hommes. Seul le néant succède à la mort. « Mais tu sais je peux être aussi forte qu’un garçon ! » promet la peur de l’abandon. La main fraternelle ébouriffe les cheveux de la calomniatrice rompant toute la volonté de l’enfant de continuer remontrances et plaintes, leur préférant la chaleur des bras de l’aîné. Fougue de la jeunesse la langue ne cesse de s’agiter exposant le frère à un flot interrompu de paroles plus décousues que structurées, les méninges encore trop candides pour les discours grandiloquents. « Désolée mais il n’y a rien à manger, maman n’a pas quitté son lit depuis plusieurs jours et notre oncle est trop occupé pour venir » indique la désinvolture, inscrivant la situation dans la normalité, mère que la simple présence de la fille insupporte menant tout autant aux crises qu’à l’apathie. Oncle assimilé au paternel, présence fugace mais rassurante, s’assurant de maintenir une ombre responsable sur le foyer mais se refusant à prendre à charge les deux rejetons de sa sœur. Distance qu’il se plait à maintenir, se refusant à devenir un père pour la gamine, l’ambition du skipper y voyant plus un potentiel intérêt pour ses affaires futures qu’une enfant  à ajouter à la liste des siens. « C’est notre cousin qui m’a fait ça parce qu'il a gagné notre jeu » change de sujet la blondinette, mère déjà oubliée dans les méandres des draps qu’elle ne semble quitter que pour la blâmer de tous ses malheurs, coupable idéale ou excuse parfaite pour se perdre dans le brouillard des calmants avalés comme bonbons. « Mais la prochaine fois je veux gagner moi Thad ! Je veux que ce soit lui qui ait mal, qu’ils aient peur de moi comme ils ont peur de toi » parle la volonté, déjà souillée par l’éducation qui impose le respect par la force, démontre la puissance par la violence. Violence que frère comme oncle lui apprendront à faire sienne pour l’imposer aux autres haussant les épaules face aux regards courroucés, brandissant leur carmin irlandais comme excuse à cette éducation.

septembre 1894 - juillet 1899 scolarité qui sonne le glas de l'émancipation du joug maternel, plus malsain que martial, pour le joug scolaire sans que l'esprit ne puisse se prononcer en faveur de l'un ou de l'autre. Plus acrobate que studieuse, les rappels à l'ordre jonchent le parcours scolaire plus que ne le font les congratulations, les matières théoriques largement délaissées pour leurs comparses sportives ou pratiques. Indiscipline que seul l'oncle sait dompter, tel le général rappelant à l'ordre ses soldats, l'adolescente ne fléchit échine et pupille que devant le skipper.

juillet 1999 - juillet 1904 les velléités sportives sont réduite à inanités, balayées comme de frivoles idées par l'oncle qui leur préfère la défense et la sécurité, bastion des irlandais. L'adolescente, cherchant plus une approbation paternelle que la réalisation de ses propres aspirations accepte le chemin tracé par le skipper, s'inclinant de nouveau devant les volontés irréfragables d'Odhran. Malgré de fortes réserves quant à cette voie, l'épanouissement éclot doucement face à la constitution du parcours, ces années voyant poindre une élève plus appliquée - rappels à l'ordre devenant plus ponctuels qu'usités-. L'impudence s'assagie au profit du discernement, sans que jamais la vraie nature ne puisse s'en départir pleinement, l'esprit s'ouvre à l'opportunisme. Prévoyance commence à se prévaloir de l'imprévision, sans pour autant pouvoir se vanter de la chasser, l'essence irlandaise fini toujours pas reprendre le pas lorsque les limites sont franchies.

13 octobre 1904 les traits s’étant voulu amicaux, presque fraternels se tordaient désormais de douleur, les pupilles exprimant la peur du supplicié. L’ami devenu traitre, le membre de la grande famille créée par Odhran Byrne avait privilégié ses propres intérêts à ceux des siens, appâté par la monnaie miroitant dans les paluches italiennes. « A quoi condamnerais-tu cet homme Sina ? » demande, sans douter de la réponse, le skipper nonchalamment adossé au mur toute expression ayant fui son faciès.« La mort » répond la fierté irlandaise, bafouée dans sa croyance aux liens fraternels crées entre les membres, à la croyance que les trahisons ne peuvent jamais se voir offrir le pardon. La pitié est mise en sourdine enfouie sous la colère de la tromperie. « Et bien si tu es sûre de ton jugement Sina, il te revient de l’appliquer » ordonne l’autorité, testant l’éducation administrée tout au long de l’enfance, testant la fidélité de celle partageant son sang et bientôt son gang. La sanction est appliquée, sans que réflexion ne puisse faire son chemin, ne puisse s’agripper aux incertitudes, à la tristesse de la perte. Sentiments n'ayant jamais eu place forte dans le chemin parcouru par l'irlandaise, n'ayant jamais pris le pas sur le devoir envers les siens. Traitrise ne pouvant s'ouvrir à d'autre issue que la mort, elle n'avait pris aucun plaisir, ni regret, à y appliquer la sanction.

10 juin 1916 : Futur époux présenté sur un jeu de photographies, glissé nonchalamment sur le frêne de l’office, quelques mots griffonnés à côté de l’image qui semblerait presque figée sous la mine imperturbable de l’être qui y figure. Asen Deighton, 37 ans.  Photographie qui n’est pourtant pas étrangère aux mirettes de l’irlandaise, traits familiers ayant déjà partagés la couche à quelques reprises. L’homme ayant outrepassé les volontés de l’irlandaise, la main ayant été demandée à l’oncle sans que sa propriétaire n’en soit consultée. Mariage d’intérêts financiers, dénué d’intérêts sentimentaux, promesse d’une alliance plus fructueuse que romantique.

27 décembre 1919 « Il me faut un héritier Sina, avant mon père n’achève son passage dans ce monde. Il ne fait aucun doute qu’il nommera mon frère, qui a eu la pertinente idée de choisir une femme lui ayant fourni des rejetons. » Main de fer, dans un gant de velours. Mantra du Deighton, appliqué au pied de la lettre, l’homme qui arbore sourires mielleux et politesses comme outils d'apparats, ne sait se voir débouter de ses demandes. L’implacabilité de son être se dessine sur le faciès, portée par une volonté de fer sur laquelle se brise sans protection aucune la flamme de l’irlandaise. « Et j’ai très envie de voir Merlin dans son plus simple appareil. Mais je crois qu’aucune de nos envies ne sera satisfaite. » ironise la blondeur, se jouant des envies de l’époux s’amusant au grès de ses refus à voir le masque de l’homme se fissurer, les apparences fondre pour dévoiler le réel. Deux êtres scellés dans un pacte que la société voudrait ad vitam aeternam, s’amusant de leurs batailles dans un éternel recommencement, cherchant mutuellement à prendre l’ascendant sans jamais connaitre de victoires définitives. Confiance ne s’étant jamais réellement installée entre eux, l’apprivoisement s’étant fait plus à travers les joutes que les confessions, dans un cadre instable mais étonnement séduisant. « Que tu le veuilles ou non Sin, nous aurons une descendance » reprend l’implacabilité ignorant la négativité. Main de maitre balayant le consentement des uns et des autres, ramassis de brindilles sans importance aucune pour l’héritier. « Certaines alliances ne peuvent se pérenniser que dans le cadre d’un contrat. Après tout, il ne s’agit que, quoi ? 9 mois de ta vie ? Quelques petites heures compliquées et les nourrices prendront la relève. » Haussement épaules, désinvolte de celui qui sait pouvoir prendre l’ascendant, de celui qui n’a jamais accepté le refus. Imperméable aux aléas prenant naissance dans les envies des autres, écrasant ce qui ne lui convient pas dans cette politesse déconcertante. « Va te faire foutre Asen cela n’avait jamais fait partie de nos projets. En tout cas pas des miens » assène la colère, portée par le refus mordant de la maternité.

Adepte du virenvol durant son enfance, elle se plait à rappeler qu'elle a infligé autant de traumas qu'elle n'en n'a reçu. Praticienne pendant toute sa scolarité de Quodpot elle y destinait sa carrière avant que son oncle lui impose sa propre vision de ce que pouvait lui offrir l'avenir. Placide face aux débordements des normes de l'ignominie, frémit à la moindre exhortation à la l'altercation ou au risque. L'addiction s'agrippe au carmin, doté des plus turpides gènes, la faisant tour à tour trainer aux jeux, aux bars, aux terrains de Qodpot ou aux duels. le lien fraternel s'inscrit dans le sacré, amour sans condition uniquement donné au frère. Pardon qu'elle lui offrira toujours, comme son aide, qu'importe la nature de l'erreur.

Gangs of Wizards




Dernière édition par Sina Deighton le 27/10/2021, 19:30, édité 2 fois
Revenir en haut Aller en bas
Ruggero Altobelli
Staff I Passi Silenziosi
Ruggero Altobelli

Crédits : Avatar : Pando, signature : excelsior
Messages : 171
Points : 295
Date d'inscription : 06/01/2021

Underneath it all we're just savages (Sina) Empty
Message() Sujet: Re: Underneath it all we're just savages (Sina) Underneath it all we're just savages (Sina) Empty23/10/2021, 13:33

Toi + moi + en venir aux mains = Brows Prépare-toi à t'effeuiller, petit trèfle  Underneath it all we're just savages (Sina) 1f340 Je t'attends dans les nuits et les ennuis Yeah


Dernière édition par Ruggero Altobelli le 23/10/2021, 13:51, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
Sina Deighton
Staff The Dirty Hands
Sina Deighton

Crédits : luxaeterna (ava)
Messages : 33
Points : 101
Date d'inscription : 02/02/2021

Underneath it all we're just savages (Sina) Empty
Message() Sujet: Re: Underneath it all we're just savages (Sina) Underneath it all we're just savages (Sina) Empty23/10/2021, 13:49

si tu veux enrichir les irlandais on peut prendre les paris  Brows sauf si ce n'est pas tout public. j'irais pointer ma frimousse dans tes liens prochainement histoire de ne pas laisser ses nuits paisibles Gaw
Revenir en haut Aller en bas
Vittoria Zambeletti
Staff Citizens
Vittoria Zambeletti

Crédits : Pando
Messages : 396
Points : 1094
Date d'inscription : 06/01/2021

Underneath it all we're just savages (Sina) Empty
Message() Sujet: Re: Underneath it all we're just savages (Sina) Underneath it all we're just savages (Sina) Empty23/10/2021, 17:59

Bienvenue chez nous GawCoeur

Ta miss a l'air géniale, et ses joutes avec son époux me font bien rire Mdr
Je suis sûre qu'on pourra se trouver un p'tit quelque chose malgré les années d'écart! Sem (en même temps vu les liens déjà crées entre nous tous, c'est inévitable Smirl)
Revenir en haut Aller en bas
Chase Steelgrave
Staff Citizens
Chase Steelgrave

Messages : 16
Points : 43
Date d'inscription : 07/01/2021

Underneath it all we're just savages (Sina) Empty
Message() Sujet: Re: Underneath it all we're just savages (Sina) Underneath it all we're just savages (Sina) Empty26/10/2021, 15:07

Cette plume, ce perso Gaw
Cette fiche est si bien écrite, entre la froideur mordante de la violence, celle des propos et si sombre.

Je suis très fan, et j'ai très hâte de voir Sina en jeu !
Revenir en haut Aller en bas
Le Consul
Staff Law & Order
Le Consul

Crédits : Avatar par : blip in time
Messages : 144
Points : 315
Date d'inscription : 26/09/2020
https://gangs-of-wizards.forumactif.com

Underneath it all we're just savages (Sina) Empty
Message() Sujet: Re: Underneath it all we're just savages (Sina) Underneath it all we're just savages (Sina) Empty27/10/2021, 22:20


La seconde admin officiellement validée Gaw
J'adore ce qui se dégage de Sina, cette masculinité à l'apparence glamour qui rend le tout hyper badass.  Cool Ta plume est un réel plaisir pour les yeux, et j'ai hâte de savoir dans quels genres de pétrins vont se mettre Thadd et elle. Yeux Bienvenue à la maison, jolie Tiny:love:

Bienvenue à Chicago

Félicitations, ton personnage a été approuvé et a dès à présent la possibilité d'accéder au jeu du forum mais avant de te lancer dans différents sujets et de rendre les ruelles de la ville moins sûres, nous t'invitons à créer son Carnet de développement permettant de tenir compte de son évolution. Pense également à vérifier que tes informations ont bien été recensées dans les différents listings et de signaler le cas échéant une éventuelle correction. Plutôt qu'à travers des fiches individuelles de liens, tu as l'occasion de discuter de relations tant avec les autres membres qu'avec les nouveaux après avoir jeté un œil à la Banque de liens et avoir proposé tes recherches.   N'oublie pas de te familiariser avec les topics présents dans la catégorie With our hearts still beatin' et de créer ta boîte aux lettres si tu souhaites correspondre par courrier. Il ne te reste à présent plus qu'à découvrir toute la magie que l'univers a à proposer et à y apposer ta propre touche ensorcelée. Want
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé



Underneath it all we're just savages (Sina) Empty
Message() Sujet: Re: Underneath it all we're just savages (Sina) Underneath it all we're just savages (Sina) Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
Underneath it all we're just savages (Sina)
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Gangs of Wizards :: EVERYONE HERE IS A TROPHY :: Breathing dreams like air :: Bienvenue à Chicago-
Sauter vers: