dante - small, with a mustache, and severe mental health condition. (délai)

Nom : Severini. Prénom : Dante. J'aurais aimé avoir mon mot à dire, mais la fascination brûlante de mamma pour la poésie florentine a, bien malheureusement, pris le dessus. Deux autres prénoms en stock (Vega, Benito) d'un panache évident. Mais mamma s'est dit qu'il serait beaucoup plus amusant de me voir porter au quotidien le prénom le plus ringard d'Italie. Surnom : Deux-trois personnes aiment m'appeler Dan. Dan n'aime pas ces deux-trois personnes. Ah, et mon ex-copine de l'époque m'appelait "mon petit rat moustachu" ; indiscutablement toujours préférable à Dan. (je ressemble vraiment à un rat ?) Généalogie : Italiens pure souche, oui monsieur. Lointains descendants de Fiore Severini, qui érigea les fondations de ce qui allait devenir le transplanage (vers le début de la Renaissance. A moins que ce ne soit le Moyen-Âge ?). Brave vieux Fiore. Plus célèbre pour sa fin spectaculaire que pour ses découvertes (n'allez pas voir les images, j'insiste ; c'est vraiment répugnant. Les membres bougent encore). Si on enlève cet illustre ancêtre, on peut qualifier les Severini de famille modeste. Peu féconds, nous aimions cultiver une distance à ces immenses clans italiens aux arbres généalogiques trop sinueux. La situation de la famille fut souvent incertaine, faisant face à d'importants problèmes d'argent, de dettes, d'impôts : la pauvreté pour blason, le clan Severini ne coula pas que des jours heureux. Ville et date de naissance : J'ai très peu de souvenirs de Palerme. J'y suis né en 1883, par un 12 mai particulièrement radieux. 37 longues années (je commence à me fossiliser) que je suis venu au monde, toujours pas certain d'avoir ma vie bien en main. Ce dont je suis certain, en revanche, c'est des sueurs froides que me donne l'imminente perspective de la quarantaine. Brrrr. Origines : Quelques vagues origines slaves côté paternel, mais votre serviteur est un pur produit sicilien (les rumeurs sont vraies, nos corps sont faits de fibres d'huile d'olive). Nous arrivions très jeunes en Amérique, nous débarassant ainsi d'un éventuel accent Palermitain. L'italien en privé, l'anglais en dehors. Mamma nous trimballe tous, mes quatre frangins et moi, jusqu'à New York ; automne 1890, j'ai sept ans. Par les aléas de la vie, les Severini ont fini par atterrir à Chicago, le joyau de l'Illinois, dans un petit quartier bucolique (ndr : pas du tout) du nom d'Archer Heights. Statut matrimonial : Ah, on est obligés de spécifier ce genre de choses ? Bon, pour faire simple, la gent féminine et moi avons un passif... houleux ? Je suis un homme difficile, et ces demoiselles me le rendent bien. Néanmoins, il serait mentir que de dire que ma fidèle petite moustache ne fait pas effet. Son secret ? Un entretien minutieux, une application assidue de ma lotion miracle Zeppeli (réservé aux sorciers gentlemen uniquement) et surtout, beaucoup de tendresse. Ne faites pas cette tête, je sais que vous l'adorez aussi. Hum. Pour répondre à la question, je suis célibataire, oui.
Parcours scolaire : J'ai toujours trouvé que c'était une perte de temps et d'énergie, en réalité. Pointer a huit heures, remplir des parchemins, se prendre la tête avec Nancy Kinsdale pour avoir pioché dans ta bile de tatou (Nancy, où que tu sois aujourd'hui, j'espère que ta vie est un désastre), bref, c'était pas pour moi. L'administration d'Ilvermorny était apparemment bien de cet avis puisqu'ils m'ont gentiment expulsé de l'école au bout de ma sixième année. Une bête histoire de trafic (je préfère le terme "commerce à l'amiable") de petits stimulants inoffensifs de ma composition. Vous saviez qu'en ajoutant trois ou quatres dards de Billywig a un Elixir de Baruffio, on pouvait passer cent vingt-huit heures sans battre d'un cil ? Cette petite merveille a fait le bonheur de plus d'un candidat au M.I.L.D, soyez-en sûr. Après six ans de bons et loyaux services rendus à la maison du Puckwoodgenie, j'ai donc fini sans diplôme, les poches vides, et pas beaucoup de motivation dans les avenues labyrinthiques de Chicago. Et c'est là que ma vie a vraiment commencé. Profession : Toute ma vie, j'ai été un élève moyen, franchement insolent, peu impliqué, nonchalant. Désastreux en métamorphose, danger public sur un balai, moyen en sortilèges, et je ne suis même pas certain de m'être rendu à un seul cours d'Histoire de la Magie. Mais une discipline, une seule, me stimulait réellement, chauffait mes synapses et mes terminaisons nerveuses ; avivaient en moi la flamme de l'envie. Les potions étaient ce qui me faisait lever le matin. Des heures passées, après les cours, le nez dans mes manuels, j'étais accro au point d'emprunter des ouvrages de huitième ou neuvième année, du haut de mes douze ans (et de mon acné pullulante). Ma fièvre des potions m'a plus ou moins mis dans la mouise, comme je vous l'ai expliqué (vous suivez ?) et j'ai atterri dans la rue. J'ai fini par rencontrer du monde. Pas spécialement du genre fréquentable, mais que voulez-vous ? Pas de diplôme, les poches creuses, on est rapidement livré à soi-même ; encore plus dans un contrée qui ne sera jamais vraiment la nôtre. De poignée de main en poignée de main, de business en business, j'ai fini par rejoindre… une autre famille. Plus grande. Plus puissante. Il faut croire que ça sert, d'avoir un talent en potions. Le Don, ça l'avait intrigué. Hum? Je parle beaucoup, on dirait. Question suivante ? Je vends des potions et des élixirs. C'est tout ce qu'il y a à dire.
Lieu de vie : Mamma, moi, et deux de mes frères, vivons dans un modeste (c'est un mot joli pour dire miteux) appartement d'Archer Heights. Nous pourrions vivre chacun de notre côté, mais les moeurs  italiennes exigent que l'on reste aussi proche de sa famille que possible, quel que soit l'âge. Et entre nous, pour rien au monde je ne renoncerais à la légendaire focaccia aux oignons de Mamma. Pas même pour un loft meublé dans les quartiers huppés de Chicago. Bon, peut-être que si, mais avec regret. Le quartier est plutôt agité ; clairement pas le pire de la ville, mais la pègre Chicagoane s'arrache l'endroit, qu'elle soit non-maj ou pas. Beaucoup de convives pour seul gâteau. On a fait notre trou en pleine zone d'influence italienne ; sécurité de façade. En témoignent les rixes incessantes auxquelles on assiste au premier coup d'oeil par le volet.

Baguette magique : La mienne prit forme des mains expertes de Shikoba Wolfe, une artisane Chicagoane dont la qualité de travail n'est plus à faire. Sculptée d'une branche de vieux laurier, en elle repose un ventricule de Snallygaster. Latéralité à gauche, elle apparaît comme bien plus courte qu'à l'accoutumée (je parle évidemment de ma baguette), et mesure un peu plus de vingt centimètres ; là où l'on situe la moyenne vers les vingt-cinq. Permis de port : Baguette on ne peut plus légale, puisque que reçue à Ilvermorny, lors de mes premières années à l'école. Bientôt vingt ans que je rate mes maléfices de Chauve-Furie avec. Mais j'ai fini par m'attacher à cette horrible brindille. Nombre d'étincelles : 11/15. Mes activités... urbaines m'ont malheureusement valu quelques étincelles en moins. Vous saviez, vous qu'il était formellement illégal de cultiver des mandragores dans son évier ? Pas le genre de chose qu'on apprend en cours, ha. Personnalité : Comme vous avez peut-être pu le constater, j'ai du mal à faire sans sarcasme. L'ironie, la dérision, l'humour grinçant ; j'aime en jongler. Faisant bien souvent de moi la personne la plus fantastiquement agaçante de la pièce. Fierté personnelle. De la à dire qu'il s'agit d'un outil de protection pour ne pas directement faire face à mes problèmes, je pense que c'est un poil exagéré. Quoique. Autrement, préfère éviter les conflits. J'ai toujours préféré fraterniser, argumenter, échanger. Tranquille. Pourquoi se taper dessus, quand on peut parler Quodpot confortablement installé autour d'un bon verre ? (Et fulminer sur le coach des Comets, que je soupçonne d'être un troll sous polynectar.) Je pense pareil que vous : quand on fricote avec les bad boys, être peace n'est pas le trait de caractère à afficher tout en haut de votre CV. Oh, ça ne veut pas dire que je rechigne à allumer un type quand on me dit de le faire, mais si on peut gérer ça dans le calme (et s'économiser quelques brûlures et hématomes), je suis preneur. Comme expliqué tout à l'heure, je ne serais rien sans Mamma et mes frères. Sans eux, j'aurai fini depuis un moment en sac de frappe free-to-use pour les matons du MACUSA. Ou pire. La famille avant tout, voilà comment je mène ma barque.Réputation : Avec les gens, ça passe ou ça casse, en général. Bon, le plus souvent, ça casse, après une vanne de trop sur la taille de votre nez, mais les plus patients aiment bien passer du temps avec moi. Certains, au sein de la Famille qualifient mon attitude de "manque de sérieux" ; je leur réponds qu'il devraient essayer de retirer le Comète 140 coincé au fond de leur derche. Enfin, c'est ce que j'aimerais pouvoir leur répondre. Comme j'arrive à me rendre utile (merci le talent en potions), les gros bonnets passent l'éponge sur mes conneries à droite à gauche. Etre le petit génie a ses avantages, mais j'ai parfois la désagréable impression d'avoir l'étiquette "pondeur d'élixirs public" barrée sur le front. Si je peux me mettre le Don dans la poche, je peux faire avec : un ego, ça se ravale ou ça te pète à la gueule.
Groupe : En tant que pile électrique officielle des Silenziosi, j'aime l'idée d'avoir ma vie bien en main. Contre vents et marées, j'évolue, front contre le blizzard, et au fond des prunelles : une envie sincère de mettre une rouste à la vie. S'il faut agir, agissons ! On aura tout le temps pour penser aux ennuis plus tard. Wand in my hand

Célébrité jouée :Dominic Cooper, Pinterest Type de personnage : Tout à fait inventé Pseudo et âge : Dante, c'est très bien comme pseudo ! Et je viens de taper dans les vingt balais snif  Comment avez-vous connu GOW ? Sur un site douteux de répertoriage de forums rp ? J'aimerais avoir une anecdote cool mais non :'(La plume à papote : Le forum est vraiment trop B E A U je ne l'ai pas assez dit