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 Culture sorcière américaine

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Le Consul
Staff Law & Order
Le Consul

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Message() Sujet: Culture sorcière américaine Culture sorcière américaine Empty17/10/2021, 11:49

Culture sorcière américaine - Everybody wants to go fast but they can't compare. Be young, be dope be proud like an American

Économie : Depuis 1920, l'Amérique connaît un boom économique, avec une augmentation constante des niveaux de revenus, de la croissance des entreprises, de la construction et des échanges en bourse. Les vieilles fortunes sorcières restent cependant réticentes à accueillir les nouveaux riches. La monnaie magique en usage existe en quatre mesures différentes et se divise par valeur décroissante en pièces de forme octogonale pour l'unité d'1 Dragot, tandis que le 1/2, le 1/4 de Dragot, ainsi que le Sprink sont de confection ronde. Un Sprink équivaut à 1/10 de Dragot. Convertir son argent pour des Dollars no-maj's à l'un des guichets de la Holdank, la banque sorcière américaine, reste rare et critiqué, car synonyme d'une excursion et d'un contact prolongé avec l'autre monde.

Femmes : A l’aube d'une nouvelle ère de prospérité, d'urbanisme et de consommation, les femmes vivent un début de libération dans leur vie personnelle. Irrévérencieuses et audacieuses, les flappers scandalisent avant tout par leur attitude plus ouverte, tout en gardant l’inquiétude de leur réputation pouvant être irrémédiablement détruite par un divorce, le mariage restant le but sociétal ultime, ou encore par la naissance d'un enfant illégitime. Quelques self-made-witches atteignent les sommets des sphères de pouvoir mais tendent à subir un sexisme important depuis les déboires d'Irene Kneedander dans l'affaire de la Grande Rébellion du Sasquatch, remettant en question les capacités féminines de gestion.

Mariage : Ayant pris l'habitude de sélectionner leur partenaire au sein de la communauté maj exclusivement, l'union conjugale entre un sorcier et une sorcière prend une forme monogame et ne peut être officialisée que lors d'une cérémonie magique et civile officiée par un marimage travaillant pour l'état civil de la mairie. Un échange de vœux et l'usage du sortilège Nuptialis par le couple en constitue les étapes principales. L'âge moyen des époux au moment de contracter leur accord est de 24 ans. Épouser une femme n'étant plus vierge n'est plus perçu comme étant autant outrageux qu'autrefois. Bien que le mariage reste la règle et le taux des alliances très élevé, les valeurs traditionnelles et victoriennes se retrouvent questionnées par les jeunes générations plus enclines aux expérimentations et à entrevoir l'éventualité de mariages sans visée procréatrice et l'option du divorce.

Mode : Plus garçonnes, les tenues des sorcières rasent les genoux, la taille se défait du corset pour danser, faisant virevolter perles et plumes, sur des rythmes endiablés de Charleston et les coiffures se raccourcissent. Les plus fortunées se permettent l'habitude de changer de tenues plusieurs fois par jour. Bouches ourlées de rouge outrancier souvent trempées dans un cocktail, les paupières s'enfument autant que les lieux qu'elles fréquentent. Le dressing des hommes se caractérise par des costumes trois pièces dont la qualité, les matières et les finitions dépendent du budget à disposition. Contrairement aux femmes se vêtant pour des occasions, l'habillement masculin dépend davantage de la profession et du statut. Une cape remplace souvent les manteaux lors des journées plus froides. (Guide complet en anglais)

No-maj's : Strictement, un clivage sépare la collectivité magique de celle sans dispositions à la sorcellerie, renforcé par la ségrégation instaurée par la Loi Rappaport. Aucune fréquentation avec les no-maj's n'est permise, à l'exception des échanges limités au strict minimum et autorisés uniquement dans le cadre des activités quotidiennes. Les relations amoureuses et le mariage s'avèrent prohibés. Les nés-no-maj's sont, quant à eux, considérés comme étant des risques inhérents à la société, de potentiels traîtres pouvant retourner leur cape contre la communauté sorcière et se retrouvent de ce fait davantage contrôlés par l'Escouade de surveillance de la fraternisation avec les non-maj's.

Racisme : Au sein de la population magique américaine, aucune catégorisation n'est faite selon des critères morphologiques, toutefois, l'immigration reste mal vue par les maj's rigoristes et premiers établis, craignant un submergement démographique et un détrônement social. Une attitude de rejet complet, d'écartement et de méfiance, considéré comme faisant partie intégrante de l'identité sorcière, se nommant magusme, s'opère à l'encontre des individus ne présentant pas de pouvoirs, soutenue depuis la séparation tranchée entre les deux mondes.

Ratisseurs : Tantôt justiciers et chasseurs de primes livrant compères comme non-maj's aux procès en sorcellerie, aujourd'hui relégués au rang de mythe, ces sorciers corrompus par la perspective du profit sont à l'origine du premier objectif du MACUSA : venir à bout des délateurs de la communauté sorcière. Les magihistoriens s'accordent sur le fait qu'au moins deux des juges du procès de Salem étaient des Ratisseurs. Les siècles de séparation des personnes et de chasses aux Ratisseurs ont fini par faire disparaître tout intérêt pour un sorcier de vendre les siens et si certains possèdent dans leur arbre généalogique la trace de l'un d'entre eux, bon nombre se gardent bien de le révéler.

Sang : Les considérations sur le sang demeurent un concept européen et seules quelques familles récemment immigrées s'y raccrochent encore. Sur sol américain, l'hégémonie du cruor est absente et aucune distinction n'est faite entre sang pur et sang mêlé. En revanche, une discrimination s'opère entre maj's (individus présentant des capacités magiques) et no-maj's (personnes sans pouvoirs), pendant que les hybrides, possédant du sang d'un être ou d'une créature, sont régulièrement sujets à des inégalités de traitement.

Sexualité : Même si souvent issue du marché noir, l'habilité émergente de pouvoir recourir à des potions contraceptives efficaces, vivement critiquée par les plus conservateurs, a non seulement contribuée à réduire la taille des familles mais a également permis aux couples non mariés d'avoir des relations sexuelles sans crainte d'une grossesse non désirée. L'emploi du mot gay renvoie durant cette période à une certaine insouciance et aisance de mœurs, homosexuelle ou non, alors qu'un nouvel esprit de liberté règne, permettant l'épanouissement de la vie nocturne et de la culture LGBT notamment parmi les artistes.

Sports: Bien qu'importés d'Europe, les sports sur balai n'ont pas reçu le même engouement que leur version locale dérivée, le Quodpot. Parmi les équipes les mieux placées se retrouvent régulièrement les Dragons de Détroit et les Comètes d'Atlanta, alors que les Womatous de Washington défendent farouchement leur tête de classement depuis quatre années consécutives. Une rivalité importante persiste entre l’équipe locale des Rafales de Chicago et les Rougarous de Bâton-Rouge. Les échecs version sorciers ont également trouvé leur public et la popularité grandissante ne serait pas étrangère à la personnalité magnétique et médiatisée de Grover Hastings, actuel champion mondial.

Xénophobie : Devant la peur de l'inconnu et celle de perdre sa propre identité, l'hostilité face à ce qui est jugé comme étranger, accentuée par l'immigration de masse en vagues, existe de manière diffuse et latente au sein de la société magique. Se considérant comme étant les seuls vrais sorciers américains, une organisation héréditaire, les Pionniers du Mont Greylock éprouvent une fierté incommensurable à retracer l'un de leurs ancêtres à la première promotion d'Ilvermorny, tout en refusant la légitimité de pouvoir se targuer véritablement maj's américains à autrui, causant également un énorme point de friction avec les magiciens amérindiens.

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