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 Rugg' ≡ Didn't I throw you off a building ?

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Ruggero Altobelli
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Ruggero Altobelli

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Message() Sujet: Rugg' ≡ Didn't I throw you off a building ? Rugg' ≡ Didn't I throw you off a building ? Empty23/10/2021, 09:32

Ruggero Altobelli - Sometimes the worst of 'em have the best disguises. He'll go as far as it takes to stay in hiding
Nom : Entre vertige ostensible et travers tapissés. Des rêves embétonnés dans leurs cages de ferraille. Cimes de la cité. D’édifiants édifices plantés dans les profondes racines de la turpitude. Les opposants des Altobelli coulés dans le ciment des fondations. Armatures en ossatures. Prénom : Intonations insulaires. Aspérité de l'âme. Ruggero, écorché par les clapets ignares, débecté d’une âpreté acharnée par ses adversaires. Phonèmes rugueux mais physique lisse du dénommé. Une façade plus conséquente que celle de ses constructions pourtant grandissimes. Surnom : Appellation qui ne saurait souffrir d’une abréviation scurrile telle que Rug’, sous peine de servir littéralement de cire-pompes pour une paire dispendieuse de derbies bicolores, à l’instar de quelques flagorneurs. L'affectuosité filiale l'affuble d'un Gigi lorsque Rigby ne lui est pas préféré. Derrière l’échine, d’aucuns l’accompagnent de l’épithète peu flatteuse ‘le rigide’. Généalogie : Naguère lignée de quidams corrodée par la cupidité. Larrons et magouilleurs cherchant à faire la course au sommet, tout autant sociétal qu’à affleurer l’empyrée. Essor du superlatif. Leg d’outrance mâtiné d’outrage. La matrone Scavone et le pater tatillon ont engendré l’hoir de la concupiscence, aîné du trinôme. Femme qui se refuse néanmoins à enfanter plus d’un descendant, avanie du désir multiple. Pièces manquantes. Tablée trop vide où s'invite la tragicomédie. L’adolescence, théâtre d’un polichinelle insoupçonné dans le tiroir d'une autre. Ville et date de naissance : Marmot s'extirpant de la matrice maternelle un samedi, 4 décembre 1875. Poupon à la conception prénuptiale. Le sacrilège tut dans le sacrement précipité. Chicago et son microcosme pour berceau. Terrain de bataille ou de jeu. Origines : Les faveurs de la Trinacria ainsi que son triskèle de gambettes ne savent le laisser indifférent. Palabres exemptes d’accent, médusant parfois. Statut matrimonial : L’engageante criminalité pendue à son cou, pareille à une promise éprise ou une gaupe féale. Hart comme cravate au nœud le plus coulissant. La perpétuité de l’hyménée que frivolement il parjure sur des dermes trop doux. Parcours scolaire : Classes de 1885-1895. Paré de l’affiquet lactescent préféré à celui du Serpent-cornu, son rôle de préfet-en-chef des lièvres lui concède maintes libertés deux cycles durant. Après sa M.I.L.D., se consacre à la filière d’Économie et politique, piochant quelques options supplémentaires en Justice sorcière. Carrière d’affaires. Profession : Il se présente dans son implacable costume de Magnat de l’immobilier aux géants d’acier. Le col amidonné est aussi lessivé que les Dragots passant astucieusement entre ses pognes trop propres. Veston retourné en Caporegime garant du blanchiment d’argent. Conseiller financier ponctuel du Don. Lieu de vie : Demeure sardanapalesque à l'excentricité décorative de l'épouse, entassement d'antiquailleries, nouvelle opulence clinquante compensée par la propreté exigeante du propriétaire, faisant suer elfes de maison comme convives reçus dans le West Side. Une résidence estivale invite à contrario au délassement, les petons dans le sable de la convoitée Plage Rosemont, sans que le maj ne puisse réellement en profiter.
Baguette magique : Affolante pâleur de l’armement conférée par du citronnier caustique, claustrant une vibrisse de Fléreur à la fourrure ocellée sous son enduit exagérément vernis, qui évite d’en tarir les années en sa possession. Détenue à la dextre, la création crayeuse quelque peu braque de vingt-sept virgule sept centimètres a été boutiquée par Beauvais. Permis de port : Petit papier jauni sans temps ni pli, tout ce qu'il y a de plus réglementaire. Nombre d'étincelles : 15/15, s'arrangeant pour en faire perdre à plus malavisé que lui. Indéfectible appui de la magistrature en cas de contentieux. Particularité : S'estimant spécial sans spécificité. Banalité abhorrante, à l'omission d'une dimension tout ce qu'il y a de plus narcissique, fabulant fantasme d'être l'objet de l'attrait et de l'amativité, allant jusqu'à se sentir accosté par des lampadaires. Maladive réassurance. Personnalité : Guindé, m'as-tu-vu, abrasif, engagé, morale douteuse, contrôlant, peine à faire confiance, orienté vers l’avenir, égocentrique, estime déchirée entre astres et abysses, stratégique, mal à l’aise avec les débordements affectifs, critique, dur, organisé, manque d’empathie, sourcilleux, besoin d'être admiré, de plaire, déterminé, difficile à satisfaire, porté famille, visionnaire, mauvaise gestion émotionnelle, démesure de l'égo, affirmé, flambeur, cauteleux, valorise l’accomplissement, sybaritisme qu'il associe à la réussite. Réputation : Requin à l’aileron calamistré de brillantine, les complets impeccables et assortis. La notoriété le qualifie fréquemment de margoulin, le baratin aisé et l’habilitée présumée de pouvoir vendre ses logements à n'importe qui, à l'image d'un commerçant véreux pouvant refourguer des chaudrons à un artisan qui en fabrique. Groupe : Wand behind my back. Frontispice fallacieux, jamais à l'abri d'en découvrir les poutres putrifiées. Subterfuges et dissimulation. Fraudeur hypocrite, trompant sa compagne comme toute compagnie.
Célébrité jouée : Milo Venti-mama-miglia  Brows, l'avatar de la fiche est signée Kane Type de personnage : Issu de la caboche, rattaché de naissance du côté de la mère au gang italien Pseudo et âge : Pando, your Panpan, la trentaine passée, still glittering  Sparkle Comment avez-vous connu GOW ? Il faut dire que c'est plutôt lui qui m'a connu Mdr La plume à papote : Il me tarde tellement que le jeu débute ! Ne vous gênez surtout pas de prendre contact avec le staff en cas de besoin.

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Dernière édition par Ruggero Altobelli le 2/11/2021, 20:13, édité 2 fois
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Ruggero Altobelli
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Ruggero Altobelli

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Message() Sujet: Re: Rugg' ≡ Didn't I throw you off a building ? Rugg' ≡ Didn't I throw you off a building ? Empty23/10/2021, 09:33

Tailor these clothes to fit your guilt - I just want revenge and a little bit more. Lower your defense just a little bit more.
Rugg' ≡ Didn't I throw you off a building ? N3Mvd0y

2/12/1884 - 8 ans Même pas mousmée et déjà fidanzata par arrangement, l'infante des Stellano lui témoigne d'une abnégation prompte, sous couvert d'un romantisme impubère minaudier. Élans enfantins ajournés de son petit bras potelé de garçonnet.
18/6/1892 - 16 ans Zio Rafaele, dont il escomptait devenir le futur filleul au sein des siens, trépasse salement, troué de sortilèges abjectes et de traîtrise fardée. Une légitimation supplémentaire au lynchage des leprechauns.
Après-Ilvermorny L'appartenance à la coterie ne semble qu'une évidence filiale. Recrue récente louvoyant parmi la nécessité de gagner ses galons et la conviction farouche de son irréfragable légitimité.
7/7/1895 - 19 ans Idylle gâtée. Miu’ devient mia par le mariage. Cérémonial de l’irréversible communion scellant promesses, partage et désir ne pouvant faiblir. Jeunes et ignares de la dépendance de l’amour de la déception.
23/2/1896 - 20 ans Naissance d'Erminio dans l'attente et les expectatives élevées. Empli de gloriole, le géniteur exhibe à tout-va le couffin de son successeur forcément promis aux prouesses, dont il refuse d'en exiger moins. Désillusion en devenir.
Janvier 1898 - 22 ans Là où le soldat fait ses armes par l’action, la crédule délaissée se raccroche aux superstitions, rejoignant le Cercle de La Bonne Aventure pour apaiser l’incertitude de la destinée d’augures planant sur leur relation.
Février 1898 A mi-chemin de l’ire et de l’égarement, poussé par la vexation ou l’impérieuse appétence pour la valorisation, la morgue de l’un retrouve sa semblable. Perte de contrôle lors d’une tâche post-rite d'initiation. Seul le costard salopé semble l’incommoder.    
Dès septembre 1901 - 25 ans Essuyant refus et parades à la procréation d'un second bambino, temps à deux et tendresses s'espacent, scindant un peu plus les conjoints. Inepties occultes, pseudo-prophétie sibylline empêchant soi-disant d'autres siblings.
Septembre 1905 - 29 ans Rentrée désappointante parmi les roses du rejeton émotif qu’il déniche réfugié sous les jupons ramollissants de la sensiblerie. Blâme les cajoleries maternelles et commodités pour l'affaiblissement du tempérament.

You're the best woman for the worst of men :

Domicile des Altobelli = Énième verre old fashioned retrouvant sa transparence hyaline, aussi vide de contenu ambré que la conversation s’éternise avec un vis-à-vis, dont l’utilité s’arrêtait, du moins selon la conception sicilienne de la causette, plus mono- que dialogue, à l’écoute unilatérale par ce premier. Discussion évaporant l’intérêt devenu volatile, lui préférant les paillettes d’un décor connu, celui d’un matérialisme ostentatoire, diaprant une vilénie à peine liminale, de moindre lest que les dorures des moulures surchargeant de manière éparse quelques éléments d’aménagement. Élévation impliquant la montée depuis les tréfonds. Trop affichée et tapageuse pour ne pas être récente. Bassesse morale compensée par les hauts plafonds, qui surplombent de leurs lustres, des tapis maintes fois décrassés, sans pouvoir les défaire des penchants de ses occupants, l’avilissement dans tout son odieux resplendissement. Les ramenant encore et toujours vers leurs origines de ribauts, comme si chaque apogée ne pouvait culminer que par ses descentes abruptes. Ses rétines régaliennes accrochent un arc sirupeux, restant de spiritueux séché semblable à du cérumen. Dégueulasse. Maculature sur la table basse retenant la macula, empoicrant la focalisation. Quasi obnubilé, proche d’en être absorbé, du revers de l’ongle, par un geste aversif, il s’imagine racler l’éclaboussure dérangeante en banderole cireuse engluant le pouce. Sans exécuter l’action cependant, la sévérité de la mine galantise le dégoût, narines subrepticement froncées. Assez néanmoins, afin de déloger un couinement pétochard appréhendant la géhenne à une engeance de la servitude, sur fond de pouffements reconnaissables d’entre tous les échos d’égaiement. Cabèche que le malfaiteur détourne de l’elfe de maison accourant déjà, nippes décrochées du chétif thorax de sorte à frictionner frénétiquement la faute. Des avelines broient la bestiole de leur dédain, avant de se morceler sur le corps immérité, splendeur distante. L’égérie des nuits déclinées porte dans la voix les éclats d’un divertissement, dont il ne s’avère l’instigateur mais duquel l’orgueil de ne peut que se représenter l’être. Refuse de concevoir le contraire, intolérable entachement à la fatuité, s’estimant seul à même de susciter ce subtil plissement de plaisir qui folâtre aux coins des précieuses paupières. Une fois défait de l’obsession minuscule pour s’attarder sur une autre, le voilà diable se perdant parmi les détails. Elle lui semble si lointaine, malgré les quelques enjambées s’effectuant d’une allure altière. Ses extrémités quêtent l’étreinte, la rapproche d’une sénestre autoritaire, main contre reins d’un bassin que le convoiteux désirait voir s’arrondir à nouveau. Tout contre la veste et malgré cela inhumainement éloignée, à l’éconduire encore, muettement cette fois, invoquant par un parlant silence l’aberration des astres ou une quelconque soucoupe de thé. Spectre évanescent au contact de ses phalanges, vide relationnel enserrant une proximité plus diluée qu’une liqueur tourbée ruinée d'un excès de glaçons, attitude algide, froideur féminine, physionomie frigide fondant faussement en public au nom d’une félicité factice. Les prunelles enténébrées sondent leurs semblables, n’y décèlent que des constellations de chagrin ravalé, mésinterprétées comme de l'adoration ou des pupilles pompettes, n'empêchant toutefois pas l'épousée, même imperceptiblement éteinte, de scintiller jusqu’à l’éblouissement dans une pièce pourtant tape-à-l'œil.

21/11/1915 - 39 ans Espoirs de reconnaissance inhumés avec le paternel. L'insensible figure figée, éternellement exsangue de toute considération, inconnue à l'expression faciale, fait déjà grouiller les vers du regret.
16/2/1917 - 41 ans Ferveur sans repentir. L’investiture en tant que capo au sein d'I Passi Silenziosi l’initie par la consécration du calibre boisé et du curare à l’échelon d’honorabilité. Ultime attestation ne parvenant pour autant pas à dissiper les doutes intestins.

A reçu une éducation mutilée d'affection, l'accent mis sur les apparences. Paraître pour être Son dressing s'étend en sanctuaire aux mille cintres. Démesure sur mesure Don't bleed on my floor Aficionado de maj-billard L'ascension vers son bureau au dernier étage de l'entreprise lui paraît parfois semblable à une élévation méditative Irrécusable fierté d'avoir conféré un panache prestigieux à la ligne d'horizon chicagoane. Étourdissant pouvoir attribué à l'impression galvanisante de posséder certains quartiers Folie des grandeurs Apparently the world doesn't revolve around me ? Weird

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Dernière édition par Ruggero Altobelli le 31/10/2021, 16:17, édité 3 fois
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Vittoria Zambeletti
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Message() Sujet: Re: Rugg' ≡ Didn't I throw you off a building ? Rugg' ≡ Didn't I throw you off a building ? Empty23/10/2021, 15:43

Est-ce qu'on doit vraiment souhaiter la bienvenue à celle sans qui le forum n'aurait jamais vu le jour ? Huh OUI, évidemment. En plus elle veut des bisous et tout donc voilà, tiens plein de bisous ! Hump

Smoochie:

Trop heureuse de pouvoir poser bagage avec toi à nouveau !  Coeur
Ah, au fait, il se peut que dans le panneau admin tu me vois zieuter ta fiche ou ton profil... t'inquiètes, c'est pour la science pas du tout parce que je me rince l'œil ! Gnoe

J'ai hââââte de voir ce que tout ça va donner, Rugg, Vitto, nos copains Chase et Sina, les membres qui nous rejoignent, nos aventures et histoires farfelues, bref, la vie de ce somptueux forum ! :love:
Plein de love pour toi. Fluff

Oh et, un dernier pour la fin... Gaw
Shhh...:
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Chase Steelgrave
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Chase Steelgrave

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Message() Sujet: Re: Rugg' ≡ Didn't I throw you off a building ? Rugg' ≡ Didn't I throw you off a building ? Empty24/10/2021, 11:47

Peut-on vraiment te souhaiter la bienvenue Mdr

En tout cas, une nouvelle fois, un superbe personnage dégueulasse, avec un soin si particulier sur les mots et sur son éducation passée, sur ses sentiments... je suis et reste admiratif.

J'espère que tu t'amusera ici avec nous, après l'effort de création et un personnage abouti !

Tout plein de merci pour tout ce que tu as fait, GoW n'aurait pas vu le jour sans tout ton investissement !

P.-S. : j'imagine désormais canoniquement Rugg avec un pendentif dent de requin sous sa chemise. Fallait pas caler le mot requin. Voilà.
huhuhu:
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Ruggero Altobelli
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Message() Sujet: Re: Rugg' ≡ Didn't I throw you off a building ? Rugg' ≡ Didn't I throw you off a building ? Empty31/10/2021, 12:10

Comment ça, ça ne se fait pas de souhaiter la bienvenue à la fonda ? Mdr Voyez ça comme une pendaison de crémaillère Sem

Vitto : Tant d'amoooore Gaw :love: Rugg ne le mérite pas mais je prends Hihi J'ai si hâte de voir les personnages en jeu Gnoe

Chase : Tes compliments sont flatteurs Squee c'est effectivement le rendu que je souhaitais lui donner, quelque chose de crade malgré un excédant de "propre sur lui". La construction était un travail d'équipe Coeur
Oust avec ce bijou de mauvais goût What Pas de place pour ça sur la petite moquette de Rugg' (jeu de mot pourri bonjour)
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Le Consul
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Le Consul

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Message() Sujet: Validation de Rugg' Rugg' ≡ Didn't I throw you off a building ? Empty2/11/2021, 20:06


Un privilège d'approuver la fonda Brille . Ta plume est aiguisée comme à ton habitude, et elle a décrit un merveilleux et débectant personnage, si tiraillé et si hypocrite. Une fiche si bien écrite, si complète et si instructive, je n'ai que hâte de voir ce personnage fleurir dans les ruelles de la Windy City.

Bienvenue à Chicago

Félicitations, ton crapuleux personnage a été validé et a dès à présent la possibilité d'accéder au jeu du forum. Mais avant de te lancer dans différents sujets et de rendre les ruelles de la ville moins sûres, nous t'invitons à créer son Carnet de développement permettant de tenir compte de son évolution. Pense également à vérifier que tes informations ont bien été recensées dans les différents listings et de signaler le cas échéant une éventuelle correction. Plutôt qu'à travers des fiches individuelles de liens, tu as l'occasion de discuter de relations tant avec les autres membres qu'avec les nouveaux après avoir jeté un œil à la Banque de liens et avoir proposé tes recherches. N'oublie pas de te familiariser avec les topics présents dans la catégorie With our hearts still beatin' que tu as en partie écrit et de créer ta boîte aux lettres si tu souhaites correspondre par courrier. Il ne te reste à présent plus qu'à (re)découvrir toute la magie que l'univers a à proposer et à y apposer ta propre touche ensorcelée. Want
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Message() Sujet: Re: Rugg' ≡ Didn't I throw you off a building ? Rugg' ≡ Didn't I throw you off a building ? Empty

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