Quatre artisans se disputent la place de meilleur-e
fabricant-e de baguettes aux États-Unis :
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Shikoba Wolfe : descendante d'une tribu native originaire du Sentier de l'Est, les Chactas, la réputation de son travail repose sur sa finesse et ses productions souvent capricieuses mais puissantes
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Johannes Jonker : né-non-maj, fils d'ébéniste, ses créations sont reconnaissables à ses incrustations de nacre mais son atelier à Chicago se retrouve souvent boudé par les sorciers plus puritains
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Thiago Quintana : connu pour être le seul à intégrer à certaines de ses armes une épine dorsale de monstre du Fleuve Blanc, s'offrir une baguette de Quintana n'est guère pour toutes les bourses
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Violetta Beauvais : sorcière plutôt secrète de La Nouvelle-Orléans, une rumeur selon laquelle ses baguettes se nourriraient de magie noire a mis à mal certaines de ses ventes
Une baguette américaine peut contenir l'
un des cœurs suivants :
- moustache de Fléreur
- crin de Kelpy
- poil de Womatou
- corne de Serpent cornu
- poil de Rougarou
- ventricule de Snallygaster
- épine de monstre du Fleuve Blanc
(Pour les autres pays merci de vous référer à
l'article suivant)
A l'inverse d'autres écoles de sorcellerie, Ilvermorny
interdit à ses étudiants d'acheter une arme avant le début des cours, celle-ci étant obtenue directement au château après la cérémonie d'attribution d'une maison, de même que l'utilisation de la baguette hors du cadre scolaire est condamnée. Elles sont en effet entreposées dans une salle prévue à cet effet jusqu'à la prochaine rentrée des classes.
Contrairement à certaines préconceptions, les magiciens du Nouveau Monde ont développés
leurs propres catalyseurs de magie, s'adaptant à leurs environnements et remplaçant le bois par de l'os, des cristaux ou une sacoche emplie d'essence magique. Cependant, dans son effort d'intégration, le MACUSA a requis l'usage réglementé de la baguette uniquement au sein de la société sorcière américaine. Ce conflit culturel est une raison de plus poussant les communautés magiciennes à la méfiance et à l'isolement face au MACUSA, conservant et propageant à l'occasion leurs moyens peu conventionnels d'utiliser la magie.
Le
port d'arme magique est soumis depuis la fin du XIX
e siècle à un permis, aussi nommé
permis baguette, servant à la surveillance, à la régulation de l'activité sorcière ainsi qu'à l'identification des criminels. Tout-e sorcier-ière présent-e sur sol américain (touristes inclus) se doit de faire la demande de ce document officiel, qui lui sera remis à la mairie, se présentant sous la forme d'un papier rectangulaire jaune pâle comportant des informations tant sur la baguette enregistrée (taille, bois, cœur, détails, provenance) que sur son porteur/sa porteuse (identification, numéro citoyen, latéralité). Sans tampon la pièce est considérée comme dépourvue de valeur voire falsifiée. Le permis baguette doit être porté en tout temps et présenté à la police sorcière en cas de contrôle.
Chaque permis est constitué au plus d’un
capital de 15 étincelles. Lorsqu'il reste moins de 5 étincelles sur le document, la baguette se retrouve bridée en puissance. Toute infraction impliquant l'emploi d'une baguette conduit à la perte d'étincelles et peut aller jusqu'au retrait du permis ainsi qu'à la confiscation voire destruction de l'artefact enregistré.
A savoir : Sur GOW le système des étincelles fait partie intégrante du jeu et les actions de votre personnage peuvent conduire à voir diminuer le capital de la baguette. Cela a lieu dans le processus d'arrestation/jugement. Néanmoins, notre but n'est en aucun cas de jouer à la police sorcière à leur place De ce fait, vous êtes entièrement libres de faire perdre (ou non) des étincelles à votre personnage en vous mettant par exemple d'accord à ce propos avant de lancer un sujet. Lorsque des risques pourraient être impliqués dans un topic/une mission, cela vous sera signalé par avance afin que vous sachiez dans quoi vous embarquez.
En tombant à 0, il sera nécessaire de vous procurer une nouvelle arme (légalement ou illégalement) ou encore de regagner /acheter des étincelles. Récupérer sa/une baguette après une privation du port se fait de
manière officielle par des travaux d'intérêt général se soldant par une nouvelle demande de document et parfois un rachat d'artefact mais
officieusement, il existe un commerce de faux-papiers, des baguettes de rechange sont obtenues, volées ou récupérées sur certains corps par le gang polonais travaillant avec certains employés corrompus du bureau des permis de port de baguette magique.